There is speculation that many diseases have viral origin.
Well even if "There is speculation that many diseases have viral origin" is true (this "speculation" is actually not new, it goes back to Louis Pasteur) apparently supercritical CO2 is very good at removing the viral load from the bone.
FWIW, I think that Triaca is overrated. IMO he uses chin wings to simulate CCW rotation.
I think you are not the only one who thinks that he uses chin wings to simulate CCW rotation, I did not ask Triaca if he thinks chin wings simulate CCW rotation but perhaps he himself might actually agree. Judging purely from cases presented in his papers & 1 or 2 lectures he does not like CCW rotation that involves an BSSO due to stability issues, it seems to be he only does CCW with maxillary impaction & distraction osteogenesis in lieu of an BSSO.
On an side note I mentioned Larry Wolford to Triaca, he told me he knows who Larry Wolford is & thinks he is f***king crazy for doing TJR in teenagers lol. But more on what Triaca said about Wolford & stability of BSSO's later when I write up & post my consult experience
He basically says in this lecture that he uses Chin Wing to simulate CCW at 15:50 to 16:50
https://youtu.be/SJnOffLBIkk?t=950Here's from an interview
https://www.orthodfr.org/articles/orthodfr/pdf/2016/02/orthodfr160021.pdf where he says he does not do >8-10mm BSSO advancements anymore and prefers DO.
"S.R. : Tu as de plus en plus souvent recours à la distraction mandibulaire. Peux-tu nous décrire cette intervention? Combien de temps maintiens-tu les distracteurs en place?
A.T. : J’ai placé mon premier distracteur mandibulaire il y a 15 ans.Chez le jeune, la distraction osseuse sagittale est plutôt bien supportée. Ce n’est pas forcément le cas chez l’adulte mais elle présente de nombreux avantages : avancements importants, reconstruction osseuse, absence de risque d’altération condylienne. Lorsqu’un patient a présenté des phénomènes de résorptions condyliennes, mais que les condyles sont corticalisés, il est nettement préférable, selon moi, d’envisager une distraction plutôt qu’une ostéotomie sagittale. Les distracteurs sont adaptés au plus prêt du contour gingival et des dents. C’est le patient qui l’active. Le distracteur est activé
de trois fois 1/4 de mm matin, midi et soir. Une fois une légère sur-correction obtenue, le distracteur est maintenu trois mois en bouche.
S.R. : La difficulté de contrôler la position condylienne en cours d’intervention, le risque d’altérations idiopathiques temporomandibulaires représentent une limite et un risque de la CMF. Tu nous as dit lors de la réunion scientifique de Toulouse et d’Aix en Provence que la prévention de ces atteintes consiste en une meilleure planification thérapeutique. Peux-tu développer cet argument ?
A.T. : Lorsque j’exerçais dans le service d’Obwegeser, une journée entière par semaine était réservée uniquement pour les patients opérés et souffrants de douleurs articulaires. Par le passé, j’ai réalisé des ostéotomies sagittales de plus de 10 mm. Je me suis rendu compte qu’audelà de 8 mm, on avait de forts risques d’altérer le condyle. Lorsque l’avancement est important, je préfère avoir recours à la distraction mandibulaire qui, comme je l’ai dit plus haut, n’altère pas le condyle et est bien plus stable dans le temps. Par ailleurs, selon moi, ce n’est pas tant le contrôle de la position condylienne en cours d’intervention qui est important, mais l’absence de compression. Il est fondamental de ne pas comprimer le condyle"
Later he specifically mentions his stance on CCW, also mentions that he prefers just an maxillary impaction.
"S.R. : Comment gères-tu le positionnement condylien en cours d’intervention?
A.T. : Je réalise un modèle en 3D qui préfigure l’avancement. Comme je réalise des avancées sans dérotation, il n’y a pas de risque de compression du condyle.
S.R. : Tu réalises donc des avancées mandibulaires par ostéotomie sagittale sans dérotation. Pourquoi ? En revanche, peux-tu changer sans risque l’orientation du plan d’occlusion par la distraction alvéolaire du segment frontal dans les open-bite comme dans les deep-bite ?
A.T. : Effectivement, je ne modifie pas l’orientation du plan d’occlusion mandibulaire avec l’ostéotomie sagittale, en tous cas, surtout pas dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. La rotation antihoraire avec abaissement de l’angle crée un étirement de la sangle ptérygomassétérine et peut induire une compression des ATM Si le patient présente une hyperdivergence squelettique, pour fermer la béance, j’aurai alors recours à une impaction maxillaire Une infraclusion antérieure simple peut être fermée par une distraction partielle verticale antérieure du segment frontal, surtout en cas d’inversion de la Courbe de Spee. La distraction du segment frontal en combinaison avec une ostéotomie de Le Fort I permet d’éviter une modification trop radicale du plan maxillaire. Lorsque la Courbe de Spee est trop marquée, le segment antérieur peut être mobilisé vers le bas (Fig. 23c−23g). En cas d’hyperdivergence squelettique, une intervention de Le Fort I associée à une chin wing génioplastique pour modifier le bord basilaire est envisageable. L’ostéotomie de chin wing peut permettre à elle seule et, dans certains cas, de rétablir une compétence labiale. L’angle et le contour mandibulaires seront bien plus harmonieux qu’avec une ostéotomie sagittale."